Mission

Les moyens de la Fondation sont aujourd’hui bien plus modestes que ne l’avait imaginé David Bourgeois, alors que les besoins, malgré le filet social et le réseau des fonds d’entraide, sont toujours plus grands.

En un siècle et demi la société a beaucoup changé, les assurances sociales ont pris le relais de la bourse des pauvres, et la recherche de fonds est devenue primordiale pour les institutions, qui pour certaines ne survivraient pas sans les dons privés.

Année après année, la Fondation accueille de plus en plus de demandes liées à la précarité, l’intégration, à la prévention de la violence ou l’accompagnement dans des situations de crise.

L’administration centrale fut amenée à statuer sur l’obtention de dons à des garderies d’enfants, des groupements de jeunesse, pour des rénovations ou mises en conformité de locaux, l’achat de mobilier ou d’équipement de cuisine, de lits, de bibliothèques, de matériel pédagogique, sans compter les éléments de places de jeux, voire un skatepark! ou l’aménagement d’espaces de travail et d’accueil des associations actives dans les domaines qui touchent au coeur de la cible de la Fondation.